Après le report d'Assassin's Creed, c'est au tour de Rainbow Six Vegas 2 de voir sa sortie sur PC retardée : le jeu débarquera seulement le 17 avril 2008, soit presque un mois après les versions console. Il est loin le temps où la série faisait ses premières armes sur PC.
texte jeuxvideo.com
Nouvaux jeux
Vous vous êtes bien gavés à Noël ? Vous avez, selon votre situation, fait exploser le portefeuille de vos proches ou donné des sueurs froides à votre banquier en surchauffant votre carte bleue ? Bien, maintenant, il s'agit de préparer les mois à venir. Une année chasse l'autre et avec elle de nouveaux arrivages de jeux nous inondent. Alors, pour vous aider à ne pas oublier de placer le peu d'argent qu'il vous reste sur votre Compte Epargne Ludique et nous assurer que vous ne dérogerez pas à votre régime à base de nouilles "marque repère", voici un bilan des titres qui feront parler d'eux en 2008, quand ils ne font pas déjà la Une depuis des mois. Bien sûr, un petit nombre d'irréductibles parvient à se cacher suffisamment pour que nous n'ayons jamais eu l'occasion de les voir, ni même d'avoir la chance d'en savoir assez pour offrir une quelconque opinion. Ces quelques cas, vous les retrouverez en fin de dossier, dans la section à surveiller.
texte jeuxvideo.com
sur ds
Phoenix Wright : Ace Attorney : Apollo Justice
Dementium : The Ward
Mario & Sonic Aux Jeux Olympiques
jeux decrit
gta 3
plutot cool et tres reserver.Des graphisme pas tres beaux mais quand meme exploitable.
note 12/20
les expert miami
cool.Facil a prendre en mains pas trop gore mais un peu simple a mon gout
17/20
fire dep.3
trop cool.(rien de plus)
15/20
Restaurent empire
bien resemble a hotel giant
11/20
Crash day
Cool sa defoulle
15/20
fllaout 2
le the jeu de crash (patsh aussi pour plus de realiter disspo) pour le patsh c'est un patsh apare et il y aura :
des enfant
plus de terrain
plus de voiture
18/20
mardi 11 mars 2008
dimanche 9 mars 2008
Journé des telechargement et des vieux jeux
Telechargement
GTA 1 et 2 (en entier,légalement et gratuitement)http://www.rockstargames.com/classics/ (je vous conseil de le faire traduire par google)
PATch GTA 2 http://www.jeuxvideo.com/jeux/downloads/0000/00002806.htm
Fire dep 1 (demo et patch) http://www.jeuxvideo.com/jeux/downloads/0000/00009778.htm
explication de jeux
gta 2
Le retour du jeu le plus immoral du petit monde du jeu vidéo est arrivé. Si vous êtes prêt à vendre votre mère pour un peu de reconnaissance ou à faire sauter le caisson de votre chien juste pour impressionner vos collègues, c'est par là...
GTA ou Grand Theft Auto, c'est le jeu qui a défrayé la chronique lors de son arrivée dans les bacs à disque à cause de son principe même : aider la Mafia en volant, tuant et kidnappant. DMA Design a bien compris la leçon puisque dans GTA 2, votre but sera exactement le même !! :)
Au programme des festivités, l'interface graphique a été complètement refaite. Les résolutions montent maintenant très haut dans cette nouvelle mouture et c'est donc avec plaisir que l'on voit les graphismes du jeu s'affiner bien plus par rapport à l'ancienne version. Peu de changements visuels en tout cas d'un point de vue général car la ressemblance avec son grand frère est frappante. Vu du dessus, le jeu comprend votre personnage au centre de l'écran et au milieu d'une jungle urbaine. Les bâtiments sont toujours en 3D tandis que tous les personnages, gens et véhicules sont en 2D. La caméra s'adapte toujours à votre position zoomant dès que vous ralentissez la cadence et prenant plus d'altitude lors des courses poursuites en bagnole. Le style du jeu et surtout des voitures est empreint cette fois de futurisme avec une bonne dose de rétro genre formes rondes des années 60.
Donc pas de revirement radical mais plutôt une amélioration du système existant, vous avez la possibilité de jouer dans la ville de nuit ou de jour (option de menu), ce qui présente des avantages dans les deux cas : d'un côté de jour le jeu est plus visible tandis que de nuit le jeu devient vraiment peu lisible mais bien plus joli. En effet, les programmeurs ont rajouté dans les caractéristiques de GTA 2 des effets de lumière dynamique qui rendent vraiment très bien avec une impression de "ville juste après la pluie" du meilleur goût. Dans les nouveautés aussi, les explosions sont passées d'un truc minable à de belles explosions, énormes et colorées.
Dans le principe du jeu, pas de gros changements non plus puisque vous continuez à incarner un petit caïd, prêt à tout pour obtenir les faveurs des gros gangs de la ville. En tout, 6 gangs se partagent la ville et vous devrez encore une fois passer par les cabines téléphoniques pour obtenir vos ordres de missions. Ces missions sont sensiblement similaires à celles du premier opus et vos principales occupations seront donc le vol de véhicules, l'assassinat et le rapatriement des grosses pointures mafieuses. On retrouve en tout cas avec plaisir la variété des missions et le gameplay si caractéristique de GTA. Écraser des passants rapportent toujours de l'argent, ainsi que de casser des véhicules mais votre revenu majeur proviendra de la réussite des missions.
On retrouve donc toutes les armes du premier épisode avec quelques nouveautés, du simple pistolet au lance-roquette. Certaines armes sont maintenant montables sur les véhicules pour une somme toujours très coquette et de multiples bonus sont toujours cachés dans les entrailles de la cité.
Ce qui change dans GTA 2, c'est que maintenant les différents gangs sont en permanence sur la carte. Ayant chacun un quartier, des hommes de main patrouillent les environs et une notion de respect a été incluse dans le jeu. En effet, trois compteurs sont visibles dans votre interface et représentent votre côte vis-à-vis des différents clans. Si votre côte est bonne envers un groupe, vous aurez accès à des missions plus périlleuses et donc plus rémunératrices mais aussi, votre côte pourra diminuer pour un autre clan et si celle-ci est négative, les gardes de ce gang vous tireront dessus irrémédiablement. Il faut donc maintenant gérer votre popularité de façon bien plus subtile en essayant de contenter un peu tout le monde, pour pouvoir peut-être par la suite l'utiliser à votre avantage en montant un gang contre un autre.
L'IA a aussi été remaniée et l'ensemble des routines qui contrôlent tous les personnages à l'écran est un peu plus précis. Les personnages à pieds ont maintenant un champ de vision qui brident un peu leur réactions mais qui rend le jeu bien plus crédible. Dans le même esprit, un bruit comme une explosion ou une rafale d'Uzi pourra attirer leur attention.
Le jeu multijoueur permet de mettre jusqu'à 6 petits caïds dans la même ville et il sera possible de jouer en LAN ou sur Internet en Tag ou en Frag Limit tout en changeant certaines options comme la présence de la police etc. Le travail porté sur le jeu multijoueur est un peu faible quand on voit que ça rame assez souvent et que les options sont loin d'êtres nombreuses ou tout du moins originales.
Au final, GTA 2 est un remake du premier. Le système de jeu n'a subi que des changements mineurs et on retrouve hélas les mêmes bugs ou petits défauts que dans le premier, comme les zooms intempestifs pixelisant le moindre sprite ou bien encore les policiers qui, en voiture, ne font pas preuve d'une IA à toute épreuve malgré leur acharnement... Les quelques changements graphiques sont évidemment les bienvenus mais ne transcendent pas les graphismes. Si GTA 2 était sorti à la place de GTA, on aurait pu dire "génial" mais quand on sait que ce que des titres tout en 3D comme Driver arrivent à faire, on tique un peu malgré l'excellent gameplay et l'humour de la série des Grand Theft Auto.
Kornifex , le 17 novembre 1999
En Bref...
Graphismes 15/20
Une nette amélioration graphique par des effets de lumière et une finesse bien meilleure mais les zooms continuent de ne pas être jolis et le jeu reste sensiblement identique visuellement au premier épisode.
Jouabilité 15/20
Les contrôles sont strictement identiques au premier épisode. On aurait aimé en obtenir davantage comme des options différentes. Je remarque d'ailleurs que je ne vois pas l'intérêt d'avoir à choisir de jouer le jour ou la nuit par un menu, il aurait mieux valu un changement automatique mais bon...
Durée de vie 14/20
Environ 75 missions solo qui devraient contenter, surtout la difficulté de certaines missions. Le mode multijoueur est quant à lui bâclé, c'est dommage.
Bande son 17/20
Toujours des musiques variées pour GTA 2 avec aussi cette même qualité. Les bruitages utilisent des normes 3D, aidant véritablement à repérer les éléments. Seul bémol, ces voix nasillardes qui vous donnent des ordres au téléphone.
Scénario -/20
-
Note Générale 15/20
GTA 2 est une version améliorée de GTA. Gardant l'esprit très anti-social, il continue à faire rejoindre humour noir et gameplay d'enfer même si le graphisme n'a pas subi de lifting assez important. En ressemblant trop à GTA, GTA 2 reprend aussi pas mal de ses défauts...
TEXTE www. jeuxvideo.com
fire dep 1
Difficile de commencer ce test sans penser aux incendies qui ont ravagé le Sud de la France. Plusieurs pompiers y ont laissé la vie nous rappelant, si besoin était de nous le rappeler, tout le danger qu'encourent au quotidien ces soldats du feu. Monte Cristo rend hommage à la profession avec Fire Department, la première simulation entièrement dédiée à la lutte contre les flammes.
La preview de Fire Department faite il y a un peu plus d'un mois se terminait de la sorte « S'il parvient à nous tenir en haleine tout au long de ses 10 niveaux, alors on tiendra un excellent soft de stratégie. » Maintenant, qu'on a plié le jeu, on peut l'affirmer, Fire Department est effectivement un excellent soft de stratégie. Un soft à la fois original, puisque rares sont les jeux qui mettent les pompiers à l'honneur (à part Emergency, je ne vois pas), mais aussi très prenant puisqu'on ne le lâche pas avant d'avoir pu terminer les dix missions qu'il propose. C'est d'ailleurs à ce niveau qu'on aurait une remarque à faire, Fire Department est trop court, beaucoup trop court. Le double de missions n'aurait franchement pas été de trop ! Mais chaque chose en son temps. Les remarques viendront après.
Contrairement à la grande échelle, l'échelle d'attaque permet de lancer de l'eau.
Fire Department vous met dans la position virtuelle d'un capitaine de caserne. Un feu se déclare quelque part dans la ville, votre caserne est appellée pour maîtriser l'incendie et une fois sur le terrain, c'est vous qui déployez vos hommes comme vous l'entendez pour venir à bout des flammes le plus rapidement possible. Suivant la mission, vos effectifs ne seront pas les mêmes. On ne monopolise pas le même nombre de pompiers pour s'occuper pour un feu de forêts ou pour une banque qui brûle. Le nombre de pompiers vous est imposé en début de mission par le jeu lui-même. Généralement, vous vous retrouvez avec cinq ou six hommes. Puis, suivant le cours des événements, d'autres arrivent pour vous filer un coup de main.
Ce camion est plein de GPL. Il risque d'exploser à tout moment.
Les pompiers sont de plusieurs types. S'ils ont tous la faculté d'éteindre les feux, ils ont aussi tous leur spécialité. Il y a d'abord le pompier de base qui peut casser les portes à coup de haches. Puis le spécialiste en milieu périlleux qui peut se servir de son grappin pour accéder aux étages supérieurs d'un bâtiment. Le spécialiste en désincarcération se sert quant à lui de sa grosse scie pour dégager des passages encombrés par les métaux. L'officier technique est très polyvalent puisqu'il peut à la fois manoeuvrer certains véhicules et se servir de tout un tas d'objets pratiques (tels qu'une pompe). Grâce à sa combinaison ignifugée, le spécialiste en tenue d'approche peut intervenir dans les flammes. Enfin, si chacun de ces pompiers peut venir en aide aux victimes, seul le médecin pourra les remettre sur pieds afin qu'il trouve eux-mêmes le chemin de l'ambulance. Puisqu'on parle d'ambulance, les autres véhicules qui vous accompagneront sont le camion citerne, les deux échelles (d'attaque et de sauvetage), le pumper, l'hélicoptère et si vous êtes sage, vous aurez même droit à un canadair. Tout l'attirail de la lutte contre le feu est donc déployé, et, comble de la préciosité, vous pourrez choisir la nationalité de vos pompiers. US, Angleterre, France ou Allemagne, tenues et véhicules diffèrent selon votre choix.
S'ils sont cachés par le décor, les personnages apparaissent bleu.
Fire Department ressemble à s'y méprendre à un jeu de stratégie temps réel. On sélectionne ses unités et on les envoie combattre les flammes ou sauver des victimes. Les missions sont très guidées et plutôt bien scénarisées. Un petit film d'intro nous montre à chaque fois le pourquoi de notre présence sur les lieux puis c'est à nous d'intervenir. En cours de mission, les ordres peuvent être modifiés ou adapté à l'évolution des flammes. Par exemple, alors que vous faites votre possible pour sauver un milliardaire de sa villa, celui-ci vous demande de secourir sa copine enfermée dans la serre à l'autre bout de la propriété. Il vous demandera aussi de mettre à l'abri ses voitures de collection et de récupérer les enregistrements audio sur lesquels il travaillait. Moins futile, un autre niveau exige de vous de trouver des preuves pour déterminer l'origine d'un incendie. Ces petites missions apportent beaucoup au jeu et rendent du coup chaque niveau différent du précédent.
Ce riche joueur de tennis est enfermé dans son cours.
Le côté imprévisible du feu est vraiment bien rendu. Tous les dangers liés au feu sont présents et vos hommes devront faire face à des explosions, des flash-over, des backdrafts, des fumées corrosives ou polluantes, etc. Côté réalisation, le jeu s'en tire plutôt pas mal. Les flammes, sans être exceptionnellement belles (le feu et son attirante beauté...), sont tout de même bien faites et on peut les voir grignoter petit à petit du terrain si on les laisse évoluer à leur guise. Globalement les décors sont assez fournis et il est possible de tourner la caméra à volonté pour élargir son champ de vision. Un zoom est également présent mais on lui reprochera de ne pas s'éloigner assez pour avoir une vue d'ensemble de la scène. Cela aurait permis d'être plus réactif en cas de pépins avec un pompier. Dans le même ordre d'idées, il aurait été agréable de pouvoir planifier ses actions à l'avance et laisser un groupe travailler en autonomie totale. Ici, les pompiers cessent toute activité lorsqu'ils sont renvoyés à la citerne. Il faut ainsi leur redonner un ordre pour les voir s'activer. Dommage.
L'autre point négatif, plus embêtant et dont je vous parlais en début de test, la durée de vie. Avec seulement dix missions à traverser, Fire Department est loin de remporter la palme du jeu le plus long. C'est même tout le contraire. Même avec ses trois niveaux de difficulté, le jeu ne tient pas sur la longueur. Le seul moyen de rallonger le plaisir est de tenter la médaille d'or à chaque mission. Pour cela, il faut être rapide, ne perdre aucune victime et remplir tous les objectifs. Un sacré challenge, en somme. Mais qui a dit que la vie de pompier était facile ?
Jihem , le 02 septembre 2003
En Bref...
Graphismes 14/20
Rien de véritablement transcendant à signaler, mais les flammes dansent plutôt bien. Les environnements sont assez détaillés, contrairement à certains véhicules dont la modélisation 3D semble un peu « rigide ». Mention spéciale à la mise en scène des cinématiques d'introduction.
Jouabilité 15/20
L'interface peut rappeller celle de certains jeux de stratégie. C'est assez clair pour que l'on puisse s'y retrouver facilement. Il manque simplement une carte globale des lieux.
Durée de vie 11/20
Le point faible du titre. En mode facile, comptez seulement quatre heures pour éteindre les 10 missions. En normal et difficile, c'est un peu plus long, mais pas assez pour nous rassasier. Peut-être un add-on avec de nouvelles missions verra-t-il le jour ? Pas de mode multijoueur à l'horizon.
Bande son 14/20
Les explosions pètent bien dans les baffles. Le crépitement du feu, les appels aux secours et les sirènes des camions nous plongent immédiatement dans l'ambiance. A noter que les sirènes, justement, changent selon la nationalité des véhicules.
Scénario 16/20
Il n'y a pas de scénario à proprement parler, mais dix missions, non liées, qui se suivent et ne se ressemblent pas. Les situations sont toujours différentes et évoluent en cours de route.
Note Générale 15/20
Que vous soyez oui ou non attiré par les pompiers, Fire Department trouvera parfaitement sa place dans votre ludothèque. Ses objectifs variés et ses missions de plus en plus périlleuses nous immergent dans un très bon jeu de stratégie qu'on aurait quand même aimé un peu plus long.
TEXTE www.jeuxvideo.com
PACMAN Une truc qui resemble a un framage, deux trois fantome et avant la nuit nitendo c'etait ca.But: recuperer des piece sur tout le terrin et ne pas se faire toucher par un fantome (sauf quand on a le bonus)
TEXTE jeux video nouvelle (le blog )
simcity deux trois maison, une zone commercial ,des graphisme 2d bien pour l'epoque , la tradusionelle vue de haut et surtout sorti en 1989 sur pc.
TEXTE jeux video nouvelle (le blog)
GTA 1 et 2 (en entier,légalement et gratuitement)http://www.rockstargames.com/classics/ (je vous conseil de le faire traduire par google)
PATch GTA 2 http://www.jeuxvideo.com/jeux/downloads/0000/00002806.htm
Fire dep 1 (demo et patch) http://www.jeuxvideo.com/jeux/downloads/0000/00009778.htm
explication de jeux
gta 2
Le retour du jeu le plus immoral du petit monde du jeu vidéo est arrivé. Si vous êtes prêt à vendre votre mère pour un peu de reconnaissance ou à faire sauter le caisson de votre chien juste pour impressionner vos collègues, c'est par là...
GTA ou Grand Theft Auto, c'est le jeu qui a défrayé la chronique lors de son arrivée dans les bacs à disque à cause de son principe même : aider la Mafia en volant, tuant et kidnappant. DMA Design a bien compris la leçon puisque dans GTA 2, votre but sera exactement le même !! :)
Au programme des festivités, l'interface graphique a été complètement refaite. Les résolutions montent maintenant très haut dans cette nouvelle mouture et c'est donc avec plaisir que l'on voit les graphismes du jeu s'affiner bien plus par rapport à l'ancienne version. Peu de changements visuels en tout cas d'un point de vue général car la ressemblance avec son grand frère est frappante. Vu du dessus, le jeu comprend votre personnage au centre de l'écran et au milieu d'une jungle urbaine. Les bâtiments sont toujours en 3D tandis que tous les personnages, gens et véhicules sont en 2D. La caméra s'adapte toujours à votre position zoomant dès que vous ralentissez la cadence et prenant plus d'altitude lors des courses poursuites en bagnole. Le style du jeu et surtout des voitures est empreint cette fois de futurisme avec une bonne dose de rétro genre formes rondes des années 60.
Donc pas de revirement radical mais plutôt une amélioration du système existant, vous avez la possibilité de jouer dans la ville de nuit ou de jour (option de menu), ce qui présente des avantages dans les deux cas : d'un côté de jour le jeu est plus visible tandis que de nuit le jeu devient vraiment peu lisible mais bien plus joli. En effet, les programmeurs ont rajouté dans les caractéristiques de GTA 2 des effets de lumière dynamique qui rendent vraiment très bien avec une impression de "ville juste après la pluie" du meilleur goût. Dans les nouveautés aussi, les explosions sont passées d'un truc minable à de belles explosions, énormes et colorées.
Dans le principe du jeu, pas de gros changements non plus puisque vous continuez à incarner un petit caïd, prêt à tout pour obtenir les faveurs des gros gangs de la ville. En tout, 6 gangs se partagent la ville et vous devrez encore une fois passer par les cabines téléphoniques pour obtenir vos ordres de missions. Ces missions sont sensiblement similaires à celles du premier opus et vos principales occupations seront donc le vol de véhicules, l'assassinat et le rapatriement des grosses pointures mafieuses. On retrouve en tout cas avec plaisir la variété des missions et le gameplay si caractéristique de GTA. Écraser des passants rapportent toujours de l'argent, ainsi que de casser des véhicules mais votre revenu majeur proviendra de la réussite des missions.
On retrouve donc toutes les armes du premier épisode avec quelques nouveautés, du simple pistolet au lance-roquette. Certaines armes sont maintenant montables sur les véhicules pour une somme toujours très coquette et de multiples bonus sont toujours cachés dans les entrailles de la cité.
Ce qui change dans GTA 2, c'est que maintenant les différents gangs sont en permanence sur la carte. Ayant chacun un quartier, des hommes de main patrouillent les environs et une notion de respect a été incluse dans le jeu. En effet, trois compteurs sont visibles dans votre interface et représentent votre côte vis-à-vis des différents clans. Si votre côte est bonne envers un groupe, vous aurez accès à des missions plus périlleuses et donc plus rémunératrices mais aussi, votre côte pourra diminuer pour un autre clan et si celle-ci est négative, les gardes de ce gang vous tireront dessus irrémédiablement. Il faut donc maintenant gérer votre popularité de façon bien plus subtile en essayant de contenter un peu tout le monde, pour pouvoir peut-être par la suite l'utiliser à votre avantage en montant un gang contre un autre.
L'IA a aussi été remaniée et l'ensemble des routines qui contrôlent tous les personnages à l'écran est un peu plus précis. Les personnages à pieds ont maintenant un champ de vision qui brident un peu leur réactions mais qui rend le jeu bien plus crédible. Dans le même esprit, un bruit comme une explosion ou une rafale d'Uzi pourra attirer leur attention.
Le jeu multijoueur permet de mettre jusqu'à 6 petits caïds dans la même ville et il sera possible de jouer en LAN ou sur Internet en Tag ou en Frag Limit tout en changeant certaines options comme la présence de la police etc. Le travail porté sur le jeu multijoueur est un peu faible quand on voit que ça rame assez souvent et que les options sont loin d'êtres nombreuses ou tout du moins originales.
Au final, GTA 2 est un remake du premier. Le système de jeu n'a subi que des changements mineurs et on retrouve hélas les mêmes bugs ou petits défauts que dans le premier, comme les zooms intempestifs pixelisant le moindre sprite ou bien encore les policiers qui, en voiture, ne font pas preuve d'une IA à toute épreuve malgré leur acharnement... Les quelques changements graphiques sont évidemment les bienvenus mais ne transcendent pas les graphismes. Si GTA 2 était sorti à la place de GTA, on aurait pu dire "génial" mais quand on sait que ce que des titres tout en 3D comme Driver arrivent à faire, on tique un peu malgré l'excellent gameplay et l'humour de la série des Grand Theft Auto.
Kornifex , le 17 novembre 1999
En Bref...
Graphismes 15/20
Une nette amélioration graphique par des effets de lumière et une finesse bien meilleure mais les zooms continuent de ne pas être jolis et le jeu reste sensiblement identique visuellement au premier épisode.
Jouabilité 15/20
Les contrôles sont strictement identiques au premier épisode. On aurait aimé en obtenir davantage comme des options différentes. Je remarque d'ailleurs que je ne vois pas l'intérêt d'avoir à choisir de jouer le jour ou la nuit par un menu, il aurait mieux valu un changement automatique mais bon...
Durée de vie 14/20
Environ 75 missions solo qui devraient contenter, surtout la difficulté de certaines missions. Le mode multijoueur est quant à lui bâclé, c'est dommage.
Bande son 17/20
Toujours des musiques variées pour GTA 2 avec aussi cette même qualité. Les bruitages utilisent des normes 3D, aidant véritablement à repérer les éléments. Seul bémol, ces voix nasillardes qui vous donnent des ordres au téléphone.
Scénario -/20
-
Note Générale 15/20
GTA 2 est une version améliorée de GTA. Gardant l'esprit très anti-social, il continue à faire rejoindre humour noir et gameplay d'enfer même si le graphisme n'a pas subi de lifting assez important. En ressemblant trop à GTA, GTA 2 reprend aussi pas mal de ses défauts...
TEXTE www. jeuxvideo.com
fire dep 1
Difficile de commencer ce test sans penser aux incendies qui ont ravagé le Sud de la France. Plusieurs pompiers y ont laissé la vie nous rappelant, si besoin était de nous le rappeler, tout le danger qu'encourent au quotidien ces soldats du feu. Monte Cristo rend hommage à la profession avec Fire Department, la première simulation entièrement dédiée à la lutte contre les flammes.
La preview de Fire Department faite il y a un peu plus d'un mois se terminait de la sorte « S'il parvient à nous tenir en haleine tout au long de ses 10 niveaux, alors on tiendra un excellent soft de stratégie. » Maintenant, qu'on a plié le jeu, on peut l'affirmer, Fire Department est effectivement un excellent soft de stratégie. Un soft à la fois original, puisque rares sont les jeux qui mettent les pompiers à l'honneur (à part Emergency, je ne vois pas), mais aussi très prenant puisqu'on ne le lâche pas avant d'avoir pu terminer les dix missions qu'il propose. C'est d'ailleurs à ce niveau qu'on aurait une remarque à faire, Fire Department est trop court, beaucoup trop court. Le double de missions n'aurait franchement pas été de trop ! Mais chaque chose en son temps. Les remarques viendront après.
Contrairement à la grande échelle, l'échelle d'attaque permet de lancer de l'eau.
Fire Department vous met dans la position virtuelle d'un capitaine de caserne. Un feu se déclare quelque part dans la ville, votre caserne est appellée pour maîtriser l'incendie et une fois sur le terrain, c'est vous qui déployez vos hommes comme vous l'entendez pour venir à bout des flammes le plus rapidement possible. Suivant la mission, vos effectifs ne seront pas les mêmes. On ne monopolise pas le même nombre de pompiers pour s'occuper pour un feu de forêts ou pour une banque qui brûle. Le nombre de pompiers vous est imposé en début de mission par le jeu lui-même. Généralement, vous vous retrouvez avec cinq ou six hommes. Puis, suivant le cours des événements, d'autres arrivent pour vous filer un coup de main.
Ce camion est plein de GPL. Il risque d'exploser à tout moment.
Les pompiers sont de plusieurs types. S'ils ont tous la faculté d'éteindre les feux, ils ont aussi tous leur spécialité. Il y a d'abord le pompier de base qui peut casser les portes à coup de haches. Puis le spécialiste en milieu périlleux qui peut se servir de son grappin pour accéder aux étages supérieurs d'un bâtiment. Le spécialiste en désincarcération se sert quant à lui de sa grosse scie pour dégager des passages encombrés par les métaux. L'officier technique est très polyvalent puisqu'il peut à la fois manoeuvrer certains véhicules et se servir de tout un tas d'objets pratiques (tels qu'une pompe). Grâce à sa combinaison ignifugée, le spécialiste en tenue d'approche peut intervenir dans les flammes. Enfin, si chacun de ces pompiers peut venir en aide aux victimes, seul le médecin pourra les remettre sur pieds afin qu'il trouve eux-mêmes le chemin de l'ambulance. Puisqu'on parle d'ambulance, les autres véhicules qui vous accompagneront sont le camion citerne, les deux échelles (d'attaque et de sauvetage), le pumper, l'hélicoptère et si vous êtes sage, vous aurez même droit à un canadair. Tout l'attirail de la lutte contre le feu est donc déployé, et, comble de la préciosité, vous pourrez choisir la nationalité de vos pompiers. US, Angleterre, France ou Allemagne, tenues et véhicules diffèrent selon votre choix.
S'ils sont cachés par le décor, les personnages apparaissent bleu.
Fire Department ressemble à s'y méprendre à un jeu de stratégie temps réel. On sélectionne ses unités et on les envoie combattre les flammes ou sauver des victimes. Les missions sont très guidées et plutôt bien scénarisées. Un petit film d'intro nous montre à chaque fois le pourquoi de notre présence sur les lieux puis c'est à nous d'intervenir. En cours de mission, les ordres peuvent être modifiés ou adapté à l'évolution des flammes. Par exemple, alors que vous faites votre possible pour sauver un milliardaire de sa villa, celui-ci vous demande de secourir sa copine enfermée dans la serre à l'autre bout de la propriété. Il vous demandera aussi de mettre à l'abri ses voitures de collection et de récupérer les enregistrements audio sur lesquels il travaillait. Moins futile, un autre niveau exige de vous de trouver des preuves pour déterminer l'origine d'un incendie. Ces petites missions apportent beaucoup au jeu et rendent du coup chaque niveau différent du précédent.
Ce riche joueur de tennis est enfermé dans son cours.
Le côté imprévisible du feu est vraiment bien rendu. Tous les dangers liés au feu sont présents et vos hommes devront faire face à des explosions, des flash-over, des backdrafts, des fumées corrosives ou polluantes, etc. Côté réalisation, le jeu s'en tire plutôt pas mal. Les flammes, sans être exceptionnellement belles (le feu et son attirante beauté...), sont tout de même bien faites et on peut les voir grignoter petit à petit du terrain si on les laisse évoluer à leur guise. Globalement les décors sont assez fournis et il est possible de tourner la caméra à volonté pour élargir son champ de vision. Un zoom est également présent mais on lui reprochera de ne pas s'éloigner assez pour avoir une vue d'ensemble de la scène. Cela aurait permis d'être plus réactif en cas de pépins avec un pompier. Dans le même ordre d'idées, il aurait été agréable de pouvoir planifier ses actions à l'avance et laisser un groupe travailler en autonomie totale. Ici, les pompiers cessent toute activité lorsqu'ils sont renvoyés à la citerne. Il faut ainsi leur redonner un ordre pour les voir s'activer. Dommage.
L'autre point négatif, plus embêtant et dont je vous parlais en début de test, la durée de vie. Avec seulement dix missions à traverser, Fire Department est loin de remporter la palme du jeu le plus long. C'est même tout le contraire. Même avec ses trois niveaux de difficulté, le jeu ne tient pas sur la longueur. Le seul moyen de rallonger le plaisir est de tenter la médaille d'or à chaque mission. Pour cela, il faut être rapide, ne perdre aucune victime et remplir tous les objectifs. Un sacré challenge, en somme. Mais qui a dit que la vie de pompier était facile ?
Jihem , le 02 septembre 2003
En Bref...
Graphismes 14/20
Rien de véritablement transcendant à signaler, mais les flammes dansent plutôt bien. Les environnements sont assez détaillés, contrairement à certains véhicules dont la modélisation 3D semble un peu « rigide ». Mention spéciale à la mise en scène des cinématiques d'introduction.
Jouabilité 15/20
L'interface peut rappeller celle de certains jeux de stratégie. C'est assez clair pour que l'on puisse s'y retrouver facilement. Il manque simplement une carte globale des lieux.
Durée de vie 11/20
Le point faible du titre. En mode facile, comptez seulement quatre heures pour éteindre les 10 missions. En normal et difficile, c'est un peu plus long, mais pas assez pour nous rassasier. Peut-être un add-on avec de nouvelles missions verra-t-il le jour ? Pas de mode multijoueur à l'horizon.
Bande son 14/20
Les explosions pètent bien dans les baffles. Le crépitement du feu, les appels aux secours et les sirènes des camions nous plongent immédiatement dans l'ambiance. A noter que les sirènes, justement, changent selon la nationalité des véhicules.
Scénario 16/20
Il n'y a pas de scénario à proprement parler, mais dix missions, non liées, qui se suivent et ne se ressemblent pas. Les situations sont toujours différentes et évoluent en cours de route.
Note Générale 15/20
Que vous soyez oui ou non attiré par les pompiers, Fire Department trouvera parfaitement sa place dans votre ludothèque. Ses objectifs variés et ses missions de plus en plus périlleuses nous immergent dans un très bon jeu de stratégie qu'on aurait quand même aimé un peu plus long.
TEXTE www.jeuxvideo.com
PACMAN Une truc qui resemble a un framage, deux trois fantome et avant la nuit nitendo c'etait ca.But: recuperer des piece sur tout le terrin et ne pas se faire toucher par un fantome (sauf quand on a le bonus)
TEXTE jeux video nouvelle (le blog )
simcity deux trois maison, une zone commercial ,des graphisme 2d bien pour l'epoque , la tradusionelle vue de haut et surtout sorti en 1989 sur pc.
TEXTE jeux video nouvelle (le blog)
samedi 8 mars 2008
vivia euh....halo 3 sur xbox 360
Des millions de gens scandent son nom dans les rues. Des quantités phénoménales de joueurs attendent fébrilement la venue du facteur qui, peut-être, amènera la tant convoitée édition collector pré-commandée il y a des mois. Les pages des magazines arborent depuis longtemps ses couleurs flashy et les spots télé obscurs se sont soudainement multipliés à son approche. Et c'est aujourd'hui, enfin, qu'Halo 3 lance son offensive. La grande question est maintenant de savoir si le bébé de Bungie est à la hauteur des monstrueuses attentes qui l'ont accompagné tout au long de sa conception.
Bungie déclarait encore il y a peu qu'Halo 3 était sans conteste le meilleur jeu jamais créé par le studio. Pourtant, les dernières apparitions du Master Chief version next-gen nous laissaient quelque peu dubitatifs, voire même carrément inquiets. Avec des graphismes décevants pour un titre de cette envergure et un gameplay sans grandes nouveautés apparentes, le Halo nouveau ne semblait pas si éloigné de son prédécesseur. Vous me direz qu'il y a pire comme situation, puisqu'Halo 2 reste encore aujourd'hui la référence ultime du jeu online sur console. Mais avant de savoir si sa suite a les épaules assez solides pour conserver son statut de leader dans ce domaine, attachons-nous tout d'abord à la toute nouvelle campagne du soft. Car après tout, depuis le temps que nous attendons, il serait idiot de ne pas décrire la façon dont le Master Chief va s'y prendre pour "Finish the fight".
Le nouveau design des Brutes est une vraie réussite. De véritables barbares perdus dans l'univers.
Petit rappel tout de même pour les joueurs distraits, la très frustrante fin d'Halo 2 voyait Cortana prise au piège dans les filets du Fossoyeur et la Terre sur le point d'être attaquée par l'alliance Covenant. Une situation fort peu encourageante. La campagne d'Halo 3 débute juste après une chute vertigineuse du Master Chief dans l'atmosphère terrestre. On ne sait pas trop comment le bougre en est arrivé là, mais on passera vite sur ce détail. Rapidement rejoint par l'inénarrable sergent Johnson ainsi que par l'Arbiter, le Spartan repart immédiatement sur le sentier de la guerre pour tenter de repousser les forces Covenant fraîchement débarquées. Articulé autour d'une série de cinématiques tout à fait en accord avec ce que nous connaissions de l'univers d'Halo, le titre pèche néanmoins par une narration brouillonne, qui rendra sans doute la compréhension du scénario difficile à ceux qui n'auront pas traversé les épisodes précédents. Le jeu abuse même d'un procédé maladroit, censé apporter un peu de tension dramatique à l'ensemble mais qui au final, devient franchement lassant. Il s'agit en fait d'images parasites qui obstruent votre vision lors des rares accalmies et vous permettent de distinguer une Cortana au discours torturé et fragmentaire. Deux de ces interventions n'ont d'ailleurs même pas été traduites en français, mais là encore, on pourra dire que je chipote. Quoi qu'il en soit, le scénario d'Halo 3 se révèle extrêmement classique, sans réelles surprises et se conclut sur une séquence décevante. Malgré tout, le plaisir de revêtir l'imposante armure du Master Chief est toujours aussi vif et on finit inévitablement par se plonger dans l'aventure, avec un petit goût amer dans la bouche tout de même.
Quelques effets et explosions nous rappellent tout de même qu'on se trouve sur Xbox 360.
En terme de structure, la dernière campagne du Master Chief est très semblable à celle des précédents volets. En effet, celle-ci comprend 10 chapitres, ce qui représente 8 heures de jeu. Attention cependant, le mode de difficulté Normal est à proscrire si vous ne voulez pas exterminer Halo 3 en 6 ou 7 heures. On pourra néanmoins se réconforter dans les bras de 3 autres joueurs, puisque le titre nous offre la possibilité de refaire la campagne en coopération sur le live, en lan ou en écran splitté. Cette dernière option n'est d'ailleurs pas à recommander car le jeu perd beaucoup de sa fluidité et de sa finesse, de même qu'il ne daignera même plus s'afficher en 16 : 9. Mais que découvre-t-on précisément dans cette fameuse campagne vous demandez-vous ? Une action intense, rondement menée où se mêlent des séquences de combat à pied dans la plus pure tradition des Halo et des sessions en véhicules extrêmement intenses, et donc toujours aussi plaisantes. Halo 3 ne peut plus être placé sur le même niveau que ses prédécesseurs, au sens où les escarmouches qui faisaient battre le coeur du joueur se sont transformées en batailles rangées impliquant de très nombreux combattants et véhicules. Certains niveaux font d'ailleurs la part belle à de vastes environnements ouverts, parfaits pour manoeuvrer avec les véhicules du jeu. Pourtant, on ne pourra pas s'empêcher de regretter la structure ultra linéaire du titre, et ces nombreuses situations de jeu répétées encore et encore, comme c'était déjà le cas dans le premier Halo.
Le Hornet est un véritable bijou. Aussi agréable à contrôler que destructeur.
Certes, le reproche semble facile quand on parle d'un FPS, mais tout de même, traverser un niveau pour remplir un objectif, puis apprendre immédiatement qu'il faut repartir en sens inverse, parcourir les mêmes salles, qui se sont bien sûr repeuplées entre-temps, est un tantinet énervant. D'autant que le soft nous ressert ce procédé 4 ou 5 fois au cours de la campagne, au point qu'on finira par se demander si ce n'était pas là un artifice des développeurs pour gonfler la médiocre durée de vie du solo. Mais le fait est que massacrer du Covenant est toujours aussi fun. Cela est sans doute dû au fait que le Master Chief répond à toutes les sollicitations en un éclair, et que les contrôles sont toujours aussi intuitifs. Différence notable avec ses prédécesseurs cependant, la touche X sert désormais à déployer des dispositifs spéciaux comme la bulle protectrice, imperméable aux tirs mais pas au raid d'un ennemi venu en découdre avec vous à coups de crosse. Le bouton en question nous permettra également d'utiliser des mines antipersonnel, des grenades aveuglantes, des bombes qui drainent l'énergie des boucliers, ainsi qu'un module antigrav, sorte de trampoline futuriste qui permet d'atteindre des zones apparemment inaccessibles.
Les parasites seront bien évidemment de la partie.
Vous ne serez d'ailleurs pas le seul à user de cet armement puisque les Covenants y auront souvent recours. Perturbantes au départ, ces nouvelles options apportent un plus indéniable au jeu. Parlons enfin de l'I.A., immense sujet de fierté de Bungie, et qui tient à peu près la route dans le jeu, mais nous gratifie occasionnellement de moments de grand n'importe quoi. Quant aux pétoires, rassurez-vous, elles sont nombreuses, variées et surtout parfaitement équilibrées. On notera par exemple la puissance destructrice du Needler et du marteau des Brutes, qui fera sans doute de la concurrence à l'Energy Sword. Notons enfin l'arrivée d'armes lourdes qui évoquent inévitablement celles de Lost Planet et qui ralentiront donc les mouvements du porteur. Combattre avec deux armes en mains est toujours possible, mais un joueur qui se contente d'un fusil de combat et des 4 types de grenades du jeu pourra se montrer tout aussi efficace.
Les combats entre véhicules sont plus jouissifs que jamais.
Côté véhicules, de nouveaux venus viennent se poster sur la ligne de départ. On retrouvera donc nos traditionnels Warthogs, Scorpions, Ghosts et Banshees aux côtés de la Mangouste qu'on apercevait déjà dans la bêta. La Mangouste est un petit quad, très rapide et incroyablement maniable qui se révélera parfait pour rallier un point éloigné ou opérer un raid éclair sur les positions ennemies. Citons également le Hornet, qui semble être la réponse de l'UNSC au fameux Banshee des Covenants. L'engin se comporte d'ailleurs plus comme un hélicoptère que comme la petite fusée violette. Capable d'opérer un vol stationnaire, de mitrailler copieusement l'ennemi tout en lâchant un duo de petites roquettes à tête chercheuse, l'Hornet est aussi mortel que plaisant à piloter. Côté alien, on accueille le Chopper, la moto des Brutes, les remplaçants des Elite au sein de l'alliance Covenant. Plutôt délicat à maîtriser, le Chopper est à l'image de ses concepteurs : redoutable lorsqu'il charge un autre véhicule avec une giclée de boost, il est nettement moins efficace lorsqu'il s'agit d'abattre une cible éloignée.
Véritable force d'Halo 3 : son multijoueur. Tout simplement brillant.
Tout cet équipement, on le retrouvera bien entendu lors des parties multijoueurs. Car c'est là que réside le véritable attrait d'Halo 3. Bungie a fait les choses en grand et nous permet de profiter de tous les derniers raffinements en la matière. Les 12 maps proposées sont extrêmement bien équilibrées. Certaines sont clairement orientées vers les combats rapprochés, d'autres, plus ouvertes, favorisent les véhicules décrits précédemment. Tous les modes les plus populaires d'Halo 2 sont de retour et sont soutenus par quelques nouveautés ainsi que par un système de classement revu et corrigé. Et en fonction de nos performances, on pourra même débloquer des équipements pour personnaliser son guerrier. Bungie a effectivement mis l'accent sur la customisation et laisse au joueur la possibilité de modeler le jeu à l'envie en partie personnalisée. Cela passe bien entendu par le mode Forge, qui permet de modifier à loisir la position de tous les objets d'un niveau (armes, caisses, mais aussi spots de réapparitions) ou même d'en rajouter. Voilà qui devrait vous permettre de constituer le niveau de vos rêves. Niveau sur lequel vos potes pourront bien sûr venir s'entretuer en temps réel. Le système est pratique et intuitif, même si on aurait aimé pouvoir faire bouger notre curseur plus vite.
Le mode Cinéma permet de profiter encore et encore de nos meilleurs exploits.
Enfin, le mode Cinéma se pose comme la cerise sur le gâteau. Halo 3 conserve un historique vidéo des 25 dernières parties auxquelles vous aurez participé. Il sera alors possible de les visionner, en caméra libre ou en suivant vos adversaires. Arrêter l'image, avancer le film, zoomer, tout est possible. D'autant qu'on pourra sauvegarder les films tels quels ou en faire de véritables clips, montés et même pourquoi pas, scénarisés. Ces clips seront de plus accessibles aux autres joueurs, un peu à la manière des vidéos du dernier Burnout. Bref, Halo 3 possède tout pour devenir la nouvelle référence sur le Xbox Live. Fun, plaisant, ultra complet, le jeu en multi conserve toute la saveur de ses prédécesseurs, mais sort considérablement enrichi des forges de Bungie. Halo 3 n'est pas véritablement à la hauteur de ce qui nous avait été annoncé, la faute à sa réalisation décevante et à une campagne solo parfois plaisante, mais qui souffre de nombreuses lacunes et d'une faible durée de vie. Reste le multijoueur, brillant, sur lequel de nombreux joueurs perdront leurs nuits et une grande partie de leurs week-ends.
Hiro, le 26 septembre 2007
En Bref...
Graphismes 15/20
D'un point de vue purement technique, Halo 3 est une déception. Beaucoup d'aliasing, des textures grossières, des bugs d'affichage ou de collisions. Reste le design si particulier de la série et quelques effets de grande classe pour se consoler. Il n'empêche qu'Halo 3 aurait pu être bien plus beau et qu'il aura du mal à se présenter en vitrine de la Xbox 360.
Jouabilité 18/20
Du grand Halo. Les commandes sont intuitives et offrent une très grande précision, que l'on se batte à pied ou au volant de je ne sais quelle monstruosité mécanique. La campagne solo pourtant, n'est pas toujours un plaisir à parcourir et on se lassera sans doute d'une mise en scène poussive et d'un level-design pas toujours très inspiré.
Durée de vie 17/20
Tout dépend de votre approche. Si vous ne comptez pas jouer à Halo 3 sur le Xbox Live, le jeu ne mérite sans doute pas plus de 12 . Mais si au contraire, vous ne jurez que par le frag, alors Halo 3 est le titre qu'il vous faut. Avec ses nombreux modes de jeu, son interface revue et corrigée ainsi que les sections Forge et Cinéma, nul doute que le titre vous tiendra en haleine pendant des mois.
Bande son 19/20
Beaucoup de musiques du précédent volet ont été recyclées pour agrémenter cette nouvelle galette. On ne s'en plaindra pas, la bande-son est toujours aussi fantastique. Heureusement d'ailleurs, car la campagne tire beaucoup de force de ces morceaux épiques.
Scénario 13/20
L'histoire d'Halo 3 sera difficile à appréhender pour les nouveaux venus. Les autres y trouveront une conclusion décevante. Avec une narration maladroite et quelques effets de style répétés jusqu'à la mort, on ne pouvait guère s'attendre à mieux.
Note Générale 17/20
17/20 si vous pouvez jouer sur le Xbox Live, et 14 si vous ne vous en tenez qu'au solo. Une note cinglante, mais qui résume bien l'incroyable déséquilibre entre une campagne qui paraît presque bâclée, et l'un des meilleurs multijoueurs tous supports confondus. Quoi qu'il en soit, Halo 3 laisse cependant un petit goût amer au fond de la bouche. Triste quand on sait que c'est probablement là la dernière aventure du Master Chief. Au fond, la véritable histoire d'Halo 3, ne se fera que sur le Live.
image http://www.gamekult.com/
mardi 4 mars 2008
gta 4
sorti:19avril
fait par:rock star game
devlopeur rock stare north
un jeu qui aura le bien fait de gider les autre jeu comme lui
un portable t'appelle le 911 et t'a les flick qui debarque et surtout un mp3.....
VOIR SONDAGE
fait par:rock star game
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